J’ai eu la chance, vendredi dernier, de la visiter. Cela faisait longtemps que j’en rêvais. Une bibliothèque aussi vaste, c’est juste du bonheur à l’état pur pour une auteure/correctrice d’édition/future éditrice !
Mais monter à Paris ne se fait pas sur un coup de tête… du moins était-ce ce dont je me persuadais. Je ne vais là-bas en moyenne qu’une fois tous les cinq ans. Et puis je me suis dit : « Et pourquoi pas ? » Et hop, je l’ai fait !
Arrivée à la Bibliothèque, j’ai d’abord découvert une architecture moderne et impressionnante. Ensuite, lorsque je suis entrée dans le bâtiment, j’ai eu l’impression de franchir les portes d’un lieu magique. C’était comme de pénétrer dans l’école de Poudlard. J’étais émerveillée, j’avais des étoiles plein les yeux. La découverte du jardin en son centre a été une très agréable surprise. J’y ai passé plus de trois heures.
J’ai quitté les lieux avec un immense sentiment de bien-être et de gratitude : la culture n’est pas en train de mourir, le livre non plus, beaucoup de gens se battent pour eux et pour les mettre en valeur.
Je suis heureuse d’avoir pu faire ce voyage.
Quelques photos de ce que j’ai vu, entre expositions et salles de lecture et de recherches :
Exposition photos le long de l’un des couloirs qui fait le tour du jardin central :
Série de photos de Patrick Wack, intitulée Out west. Photos prises à Xinjiang en Chine.
Photo extraite de la série L’île aux libellules, de Julien Mauve :
Poursuite de la visite :
Exposition Make it new – conversation avec l’art médiéval :
Exposition Les Nadar, une légende photographique :
C’est bien la seule chose qui me fait regretter de ne pas habiter à Paris : pouvoir assister à toutes les expositions, conférences, spectacles et autres activités culturelles qui s’y déroulent tout au long de l’année… Mais j’y retournerai, et pas dans cinq ans !
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